Si le spécialiste en Médecine Générale reste la porte d’entrée naturelle du système de santé régulé et optimisé, les spécialités d’organe ont une place entière et incontournable en deuxième recours.
Grâce à leur expertise, ils participent à la prise en charge des patients atteints de pathologies chroniques.
Contrairement aux idées reçues et véhiculées, leur place n’est pas uniquement dans les établissements publics, et leur existence dans le monde ambulatoire participe efficacement à l’agilité des prises en charge.
Faut-il encore que le système reconnaisse efficacement cette place, en particulier en ambulatoire.
Or, les conventions successives ont paupérisé ces spécialités cliniques, les rendant difficilement compatibles avec un exercice libéral.
Sous couvert de la maîtrise économique des dépenses de la santé, les valeurs de leurs actes ont été maintenus ridiculement bas pour une expertise de haut niveau incontestable.
Ainsi, avec une nomenclature des actes totalement déconnectée de la réalité de l’exercice, la médecine de ville voit ses spécialistes cliniques disparaître.
Rappelons ici que la valeur de C et de la CS n’a pas évolué depuis plus de 10 ans, les seules revalorisations étant une somme de majorations ponctuelles difficilement applicables.
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